Plusieurs affirment que les amours de jeunesse sont éphémères. Pourtant, à l’adolescence, certaines personnes s’accrochent au lieu de décrocher quand la relation est terminée.
Même au secondaire, certains élèves développent ou développeront un trouble de relations interpersonnelles. En d’autres mots, de la dépendance affective. Lumière sur ce fléau méconnu et beaucoup trop répandu.
D’abord, la dépendance affective s’applique à plusieurs cas autres que les relations amoureuses. Contrairement à la pensée populaire, le problème s’applique à toutes situations demandant d’interagir avec les autres. Selon le site des dépendants affectifs anonymes (D.A.A), le trouble « se développe chez les individus issus de familles dysfonctionnelles ». Il peut s’agir de n’importe quoi : alcoolisme, manque d’affection des parents, manque de communication, etc. Bref, toutes situations créant de la honte et diminuant à l’extrême l’estime de soi.
Il y a aussi plusieurs comportements qui décèlent un trouble de dépendance affective. Pour les connaître, rends-toi sur le site des D.A.A au http://www.daa-quebec.org/.