Trésor régional, conséquence du grand feu de 1870, surnom des habitants du Lac-Saint-Jean, et maintenant ingrédient incontournable de l’alimentation santé, le bleuet sauvage n’a pas fini de nous surprendre. Résultats de récentes recherches sur ce petit fruit presque magique!
Les spécialistes s’entendent: le bleuet sauvage a beaucoup plus à nous offrir qu’un bon goût. Ses bénéfices pour la santé sont tels qu’il fait de la sérieuse compétition au populaire chou-frisé (kale). En effet, le bleuet sauvage est au premier rang des fruits contenant le plus d’antioxydants suivi par la mûre, l’aïl et le kale. Un consommation quotidienne de ce petit fruit contribue au maintient d’une bonne santé sur plusieurs plans:
- Réduit le stress (élimination des toxines)
- Réduit l’inflammation
- Possède des propriétés anti-âge
- Améliore les fonctions immunitaires
- Améliore les fonctions cardiovasculaires
- Atténue les douleurs liées à l’ostéoporose
- Améliore les capacités cognitives (mémoire et cie)
Fantastique, n’est-ce pas? Mais ce n’est pas tout! Un élément de la recherche effectuée par l’association Wild Blueberries a particulièrement retenu mon attention: des tests effectués sur une souris à laquelle on a implanté des méthastases s’apparentant à celles d’un cancer du sein se sont révélés plus que surprenants; à la suite d’une diète à base de poudre de bleuet sauvage, les méthastases ont arrêté de grossir après seulement 2 semaines! Cette recherche est encore à l’état embryonnaire, mais on ne peut nier son potentiel.
Que ce soit dans une tarte, en confitures, entiers, en jus ou séchés, les bleuets sauvages sont en voie de devenir un must de l’alimentation santé!
Pour plus de détails sur la recherche en question
Photo: Facebook